Testi sulle cave romane
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CARRIERES - références de TEXTES ANTIQUES - CAVE – referenze ai TESTI dell’ANTICHITÀ
Les 9 références recensées ici sont listées en rouge (ex. 1B.) – Le 9 referenze ai testi elencate qui sono indicate in rosso. A terme nous souhaiterions citer ici tous les passages concernés, en latin avec traduction autorisée - Quanto possibile piacerebbe citare tutti i passaggi, in latino con traduzione pubblicata.
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source 1 : Projet de recherche en histoire du Droit – Univ. Sardegna (dir. Prof. Francesco SITZIA)
1A. Digeste Iav. 4 ex post.
1B. Digeste Lab. D. 18.1.77
« Giavoleno illustra i termini della querelle sorta tra Tuberone e Labeone in ordine alla nozione di lapidicina come entità economico- giuridica a sé stante, idonea allo sfruttamento industriale, nell’ambito di una riflessione avente ad oggetto un caso di vendita di un fondo con riserva di lapidicina. »
2. Ulp. 6 opin. D. 8.4.13.1
3. Ulp. 17 ad Sab. D. 7.1.9.2 e 3
4. Ulp. 18 ad Sab. D. 7.1.13.5 e 6
5. Iav. 6 ex post.
6. Lab. D. 23.5.18 pr.
7. Ulp. 31 ad Sab. D. 24.3.7.13 e 14.
source 2 : FREU 2012 – Le statut du metallarius dans le Code Théodosien. Presses du Septentrion, p. 427-450 :
8. loi d’août 376 apr. J.-C. dans le Code Théodosien : CTh. X, 19, 8
source 3 : F. Nardini, A.Nibby et al. Roma antica, volume 2, 1818, p. 282
9. Varron dans « quarto c. 32 », à propos de la prison romaine Tullianum :
« In hoc pars, quae sub terram Tullianum, ideo quod additum a Tullio Rege, quod Syracuseis, ubi simili de causa custodiuntur, vocantur latomaiae, et de latomia translatum, quod heic quoque lapidicinae fuerunt ». (selon les sources on trouve « quod hic », « quod heic », « quod huic » ou « quod hie »)
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Indications sur les auteurs des textes – Indicazioni sugli autori antichi :
Ulpien : inizio III° s. dC ; praefectus annonae poi praef. praetorio ; it : Domizio Ulpiano ; autore di commentari ad Edictum (in 81 libri) e ad Sabinum (51 libri); referenza maggiore del diritto tardo (Teodosio, Valentiniano III); un terzo del Digesto di Giustiniano è una scelta di testi suoi
Javolenus : epoca Traiana, giurista e console (Marcus Iavolenus Priscus), it : Giavoleno, fr. parfois Javolène
Labeo : epoca augustea, giurista (Marcus Antistius Labeo), it : Labeone
Tuberone Lucio Elio : I° sec. aC, giurista, di cui nulla è giunto ;
Tuberone Quinto Elio : figlio di Lucio ; età triumvirale ; legato a Cicerone ; autore del De offico iudicis e di Historiae (14 libri ).
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Addendum – Lapidicinae et Petraie
– Le terme Lapidicina est encore employé au XVIè s., à côté de celui de Petraria, comme en témoigne ce contrat de fouille sur l’Aventin:
“- 1522, 17 marzo. R. XIII AVENTINVS. Società per iscavi <sic> tra Girolamo De Rossi e Adriana Sinibaldi.
« D. Hieronimus de Rubeis ciuis romanus regionis Campitelli et d. Hadriana de Sinibaldis de regione Arenule societatem inter se contraxerunt de et super lapidicina seu petraria fienda in et sub uinea eiusdem d. Adriane posita in loco dicto Monte Aventino cui ab uno latere est vinea dominorura de Santacruce ab alio vero ipsius d. Hieronimi ab alio vie publice » (Not. Alfonso Castellano, prot. 901 A. S. C).
– Le terme Lapidicina est aussi employé, en italien, au XIXè s. par ex. par De Rossi, Giovanni Battista La Roma sotterranea cristiana[1] qui emploie également, sans doute pour le tuf, le terme de « arenifodina » (« la natura medesima dell'impresa dovea portare, che la norma d'ogni arenifodina e lapidicina fosse l'estrarre »). L'auteur emploie aussi les termes latins suivants " latomia ossia lapidicina" qui semblent pour lui équivalents.
– Au XIXè toujours on parle des “lapidicine” de Luni dans les Alpes Apuanes (E. Repetti Diz. Geog. Fisico Storico della Toscana, 1833). De “petraje” parlent aussi en 1818 Di Famiano Nardini et Antonio Nibby dans “Roma antica, volume 2).
– Dans l’Antiquité, la grande carrière de Travertin de Tibur (Tivoli) est désignée par le terme Lapidicina. Elle faisait 12 hectares et fut réouverte pour la Rome papale au XVIè s. (source: Exposition Tesori dall’Ager Tuburtinus, Tivoli 2009). La notice du catalogue parle de “collinette di scaglie di lavorazione”...
Le transport s’effectuait par radeaux sur le fleuve (Aniene) et avec de gros charrois (plaustri) sur la via Tiburtina qui dans cette zone atteint 7 m de large. Les carriers sont appelés quadratarii.
La divinité protectrice des carriers de Tivoli était Hercules Saxanus.
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un outil souvent bien utile –
Le site de Ph. Remacle et collab. : http://remacle.org/
pour les auteurs latins : http://remacle.org/index1.htm
table des auteurs traduits : http://remacle.org/bloodwolf/auteurs/
[1] http://digi.ub.uni-heidelberg.de/diglit/derossi1864a/0389/ocr
2013 fiche établie par A. Chartrain
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Data ultimo aggiornamento: 05/07/2021